Ma passion : tout sur les mines de charbon et les mineurs (4ème partie)

Eh oui ! Mais ce n'est pas parce qu'ils étaient chauffés avec des lingots qu'ils pouvaient être payés avec des haricots !

Entre nous, quel métier ! Qui, de nos jours, accepterait de travailler dans une telle surchauffe et avec de tels risques ?

Peut-être que les Indiens qui ont remplacé nos sidérurgistes bossent en short, marcel et mules, mais qui s'en soucie ?

J'arrête là, ça me fait trop mal et je ne voudrais pas non plus t'indisposer avant le réveillon de la St-Sylvestre...  

Bonne soirée. PO

Si le modo se met à faire des hors sujets...où va-t'on...?
Tant pis, je me lance !

désolé ! ces locotracteurs ne vont pas dans les mines et ne sont pas en voie étroite...

Au moins un, le Deutz-Oberursel de 4 t et peut-être le Vulcan, et certains sont à voie étroite comme le Schneider de 10 t et un Baldwin.

Plusieurs figurent dans une partie antérieure, dont le Renault à cabine centrale et je ne sais plus trop car ça remonte à quelques années.

Mais ce n'est pas sans intérêt de montrer l'évolution du matériel d'il y a 50 ans par rapport à celui datant d'un siècle et même bien plus.

A l'attention de ceux qui méconnaissent le passé ou qui s'en moquent. S'il y a eu de l'évolution, il y a aussi eu beaucoup de disparitions.

http://archives-histoire.centraliens.net/pdfs/centraux_et_industrie.pdf

à + / PO

Si JP fait mine de m'écarter de la mine, il a tort ce retors car j'y retourne et enfourne (chacun devine) le sujet qui me donne bonne mine.

Photos du Berry D 4784 K4 bi-cabine n° 938 voie de 600 à moteur Baudouin DK4 de 90 ch livré aux Oules des HB-Cévennes en 1968.



Prise en essai aux ACM de Dieppe, on peut reconnaître la même machine sur ses deux flancs, mais un mystère existe quand même,
car le plan ci-dessous montre que les 2 locotracteurs n° 909 et 910 déjà livrés aux Oules en 1966 étaient prévus sans toit. de cabine.


Surprise aussi pour le Berry D 3784 K4 n° 903 en voie de 770 et à la même motorisation, livré au puits St-Florent des HB-Cévennes.


tandis que ses plans d'ensemble (et même de détails) jusqu'à sa photo de sortie d'usine ne présentent pas du tout de toit de cabine.



Une bizarrerie qu'il n'est possible d'expliquer qu'après sa modification "maison" par le puits de St-Florent pour son loco D 3784 K4.
laquelle sera reprise par Berry pour le dernier D 4784 K4 livré en 1968 au puits de Oules. Mais au sujet des 2 précédents de 1966,
cette modif est incertaine car il n'y a pas de photo et on est sûr que c'est bien le dernier de 1968 que la Mine de Salsigne a racheté.

à + / PO

Bonjour et Meilleurs Voeux à tous en général et à certains en particulier.

Toujours à la recherche des derniers locos construits par Berry, je suis tombé sur l'un des autorails sur lesquels nous avons discuté en 2022, notamment à propos de comment et pourquoi les 8 APB 38, construits et livrés avec moteur diesel MWM D 308/2 de 30 ch, avaient été aperçus et photographiés avec un pantographe sur leur toit... Car il aura bien fallu une année pour en découvrir la raison !

Après les n° 2 et 3, voici le n° 8 qui laisse voir son logement de batterie, preuve de l'existence d'un moteur thermique, sans pour autant permettre de lui attribuer la batterie déposée juste à côté car elle paraît plus longue que l'espace prévu à cet usage. Mais ne s'agirait-il pas tout simplement d'un effet d'optique ? On distingue aussi le système d'entraînement des essieux par 2 chaînes à partir d'un pignon double monté à la sortie du convertisseur hydraulique (voir son principe sur la seconde photo).

(source : R&I n° 93 - photo du regretté Richard Bowden).

(photo Huberty qui, à partir du Luxembourg, a permis de résoudre le problème)

à + / PO

Bonsoir (et bonne année Pierre !)
la batterie ne s'enfilerait-elle pas par son petit bout et serait ainsi disposée transversalement...?

A+
JP

et pour mettre un peu le bazar dans ce sujet....la concurrence à BERRY s'organise, qu'on se le dise !!!

Bonjour à tous
Meilleurs voeux Pierre, il va falloir reprendre le train train, moi je suis à fond pour la paix des ménages, mais j'ai l'impression qu'il y en a qui sont passés à la concurence avec fiches techniques et tout et tout. Qu'est ce que tu en penses? L'année va être longue un jour de plus.
Alain

JP - Non car elle gênerait l'accès par la porte arrière et cet emplacement est dans le prolongement de la banquette située de ce côté.

aab - Si JP avait relu les 160 pages précédentes, il aurait su qu'on avait déjà parlé des Renault JF, JJ, MO et MP, mais il n'y a pas que les trains qui déraillent, la preuve ci-dessous :

Le 12 décembre dernier et en page 38, j'ai signalé avoir identifié les 3 locos diesel qui ont servi au creusement du 1er métro de Marseille, mais sans avoir donné leur appellation ni leurs caractéristiques, ce que je complète ici-même.

Il s'agit de 4588 D6 de 14 t sur voie de 760 - moteur MWM D 308/6 de 90 ch et convertisseur Clark de 12" + Rag.2

Voilà qui est fait, et aujourd'hui je pense avoir découvert l'acquisiteur des 2 "petits" locos 4505/9 pour lesquels je n'avais pour infos que AMMI Italie !  Va donc te débrouiller avec ça ?
Eh ben, creusant, fouillant, bêchant, je suis arrivé à Portovesme en Sardaigne où, justement dans les années 72-74, il y avait l'usine sidérurgique AMMI qui a changé de nom depuis.
Or les 2 locos avaient le numéro de fabrication 7387 datant précisément de 1973, et le reste a suivi : moteur Hatz de 9 ch, voie de 600 masse de 1 t 250 (petits locos que j'ai précisé).

  Alors, qui c'est l'patron ici, bong sang ?

à + / PO

pierre1942 a écrit:   Alors, qui c'est l'patron ici, bong sang ?

à + / PO

Ah bé il n'y a pas photo

Quoi qu'y dit l'Alanus au sujet de Petrus ?  

Remonte à la première page de cette 4ème partie et tu m'y verras dans toute ma splendeur et aussi ma médiocrité non apparente !

Tiens, la première calculatrice que j'utilisais il y a 60 ans pour vérifier les prix des fournisseurs et fixer les nouveaux prix des clients.

.
Et encore, celle- là me parait moins vétuste que la mienne qui faisait un tel crincrin qu'il fallait s'arrêter quand quelqu'un téléphonait.
On mettait les curseurs face aux chiffres, on tournait un certain nombre de fois, on déplaçait le chariot, bref je ne sais plus très bien.
Je me souviens surtout que je l'emmenais quelquefois chez moi pour réparer une pièce qui sautait quand elle avait tourné trop vite.

à + / PO

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