Demande d'autorisation

Bonjour tout le monde,

MERCI

Restons humbles. Je n’ai pas de mérite au résultat de cette restauration.
(à part la mise en couleur)
Étant donné que presque toutes les pièces ont été remplacées par des pièces neuves.
Seulement le châssis a été gardé.

@Dedelie : Pour les roues du diabolo : Elles sont comme d’origine.
Les roues précédentes n’étaient pas d’origine,
pour cela le proprio précédent a mis des rondelles entre la jante et l’axe vertical.

Pour la couleur jaune : J’ai pris celle d’origine John Deere.

La bébête John Deere est un cerf.
En anglais un cerf s’appelle DEER . Vu que le fondateur de la marque se nomme Deere,
ainsi il est évident qu’ils ont opté pour cet animal pour leur logo.

Mais il faut noter que le tout premier logo John Deere ne montrait pas de cerf,
mais une charrue en acier.



Seulement en 1876 le cerf bondissant est apparu et a survécu jusqu’aujourd’hui.
Bien qu’il a eu différents designs pendants ces années.

Les différents dessins du logo …



La couleur Vert - jaune provient du fait qu’ils se sont inspirés sur la plante de maïs.

Bonjour tout le monde,

DEDELIE a écrit:
... Et cette passion, elle est venue comme ça ou il y a une histoire personnelle derrière ?...

C'est difficile à dire ...
Suis né (ai grandi) dans une ferme et mon père avait que des John Deere.
L'histoire de cette marque me plait beaucoup, à noter qu'il exciste depuis 175 ans !!!!
(et elle n'a jamais été repris par un autre groupe, pas comme Fendt, Deutz ... bouffé par AGCO)
Leurs modèles (d'aujourd'hui et les ancêtres ) me plaisent beaucoup !
Et ne pas oublier, on continue la collection (passion) que mon père avait commencé.
Mais c'est comme le proverbe dit : Les goûts et les couleurs ne se discutent pas.

mais le suivant ...en quelle matière est-il ...?
Il n'a pas besoin de restauration, lui, puisqu'il est arrivé dans son emballage d'origine...?

Le chassis est en alu, les jantes arrières en acier

...

.... mais ces c..s ont mis un train avant en plastique (+ les jantes avants)







Ne vous inquiètez pas !!!!! On ne va pas foutre cette m..de de plastique dessus.

Affaire à suivre...

Bonsoir JP !

Sacré Maurice !



Concernant l'originalité : Ce n'est pas un cerf, c'est du ERTL alors en s'enfout !

Bonjour tout le monde,

Merci !

Pour continuer un peu avec des constructions peu connues, j'en ai encore trouvé une
(Au moins, moi je ne connaissais pas )



J'attends vos propositions ...

Bonjour JP,

Il y a une ressemblance, mais

Voilà la machine de JP

Bonjour tout le monde,

Les propositions de seb49 et Clem Mc-Cormick sont très proches !

C'est un John Deere Hay Cuber



Bin oui, il fait des tous petits cubes ...



Allez un peu d'histoire sur ce drôle d'engin..

Le foin a été et continue d'être le plus difficile à récolter, par rapport à d’autres cultures.
Le foin constitue (ainsi que le maïs, le soja et le blé) la majorité des superficies récoltées de la dans les Etats Unis.
Le maïs, le soja et le blé sont des cultures qui rapportent le plus,
vu que la majorité de cette récolte est vendue hors de la ferme.
Ils ont une grande valeur par charge de camion et sont facilement à transporter et stocker.
A l'inverse, le foin est de faible densité et difficile à manipuler,
ce qui entraîne que plus que 4/5 de celui-ci est alimenté directement à la ferme où il a été cultivé.

Le changement (du foin en vrac stocké dans des piles ou des granges) a commencé dans les années 1940
avec l'introduction de la presse à balles par un concurrent.
La main-d'œuvre diminuait et faisait un produit plus dense, plus facile à manipuler, transporter et de stocker,
mais la qualité du foin a également un peu changé.
Certains grands producteurs commerciaux de luzerne dans le Nebraska ont fait des pellets de foin
pendant un certain nombre d'années.
Il s'agissait d'un produit dense de grande valeur monétaire
qui avait une valeur nutritionnel plus élevées et pourrait être facilement manipulé et entreposé dans des sacs ou en vrac. Cependant, la production de pellets a nécessité un grand investissement financier
pour le séchage et le moulin des granules.
Le séchage de la luzerne (fraîchement coupée) a également eu des coûts élevés pour le carburant.


Au début des années 50, quelques ingénieurs universitaires ont commencé le développemt
d'une machine pouvant fabriquer des pellets directement dans le champ.
Cette façon de récolter le foin semblait être tellement utopique que plusieurs fabricants, y compris John Deere,
ont commencé à développer des projets (avec de grandes envergures) d'un « field pelletizer ».
IH ont montré un « pelletizer » expérimental à leurs concessionnaires et la presse en Juillet 1958.

Le département de développement de produits de John Deere a essayé de nombreuses méthodes en laboratoire avant de se fixer sur un design qui pourrait être jugé le meilleur sur le terrain.
Une meilleure compréhension, de ce qui était nécessaire pour faire un bon pellet ou un cube,
a été acquise grâce à des essais sur le terrain en Arizona et en Californie.
La luzerne possède un adhésif sur sa surface des tiges qui peut déjà être utilisé pour cimenter les cubes.
Pour que cela fonctionne, la luzerne doit être séchée à environ 10-12% d'humidité
pour que les tiges ne se rebondissent pas ce qui ferait que les cubes (une fois terminé) ne se décomposent plus.
Pour obtenir que l’adhésif ‘s’étalé dans le cube, l'andain est pulvérisé avec de l'eau
puis le foin est haché pour un mélange complet pour faire une variété de tailles de pellets.
(un peu comme avec du bon béton).

Le broyage et mélange des tiges est assuré par des pressions d'extrusion de 2272 à 4545 kg par 6,5 centimètres carré. La compression produit également de la chaleur pour accélérer l'action naturelle de la « colle »,
des mauvaises herbes ou de l'herbe dans le foin empêche d'émettre des bons cubes.
Certains cubes ont été faits si denses qu'ils coulaient dans l'eau.
Toutefois, le cube idéal pour la manipulation et l'alimentation est d'environ deux tiers de celui qui a coulé.



Alors qu'un « cuber de foin » expérimental était en essai sur le terrain,
un responsable du département visite le lieu en Californie.



Il faisait très chaud ce jour là et quand le responsable est retourné au champ, après son déjeuner,
il a été choqué de voir un ouvrier de la ferme en train d’égorger un bœuf au milieu du champ .
Cependant, il apprit bientôt que l'action improvisé était nécessaire parce que le bœuf s’était étouffé sur l'un des cubes de la machine expérimentale.
John Deere payait le bœuf, mais la leçon apprise était beaucoup moins cher à ce moment là qu'il ne l'aurait été après que la machine aurait été vendue.

Bien que les « John Deere Hay Cuber » ont fait la plupart des cubes dans les champs dans le monde,
la machine n'était qu'un petit succès commercial.

Ces machines automotrices ont été vendues en quantité limitée de 1965 à 1983
dans les régions arides du Sud-Ouest,
de l'Ouest et dans certaines régions de la Nothwest pacifique.
En Arizona et en Californie la majorité du foin est vendue à la ferme.
Les frais de transport des cubes étaient moins cher que celui des balles,
les camions pouvaient charger deux fois autant de tonnes.
Cependant, la plupart des producteurs préfèrent encore les presses à balles en raison de leur rendement.
Les machines à cubes stationnaires (John Deere 390) ont été vendues sur une zone géographique plus étendue entre 1968 à 1983.

Le John Deere 400 Hay Cuber avait une puissance moteur de 215 chevaux !





Le compacteur des cubes ...



Le "cuber" en action ...

https://www.youtube.com/watch?v=ha3AWBg2xBI

https://www.youtube.com/watch?v=bCf0vweRV9w

https://www.youtube.com/watch?v=5v1RRxH6s_Y&feature=relmfu





L'essai en Californie, où le boeuf a bouffé sa dernière croquette, n'est pas sur vidéo.



@bosuko: Je reviens la prochaine fois sur ta question du John Deere 12A

Bonjour tout le monde,

On passe au prochain ?

....

C'est un John Deere ( )
Moteur :2 cylindres
Sans roues !




Non, ce n'est pas une chenille ni un moteur fixe.