au comptoir des amis

Bonjour à toutes et à tous !

Depuis que le monde est monde, les bébés naissent toujours de la même façon et en sont toujours au même point d'apprentis de la vie. C'est la société où ils évoluent qui en fait ce qu'il deviennent. Si j'étais né en 1962 je serais qui ?
(Mon grand-père né en 1896)

Je sais seulement une chose, je ne voudrais pas être aujourd'hui à la place de ma fille qui va avoir 14 ans. Même s'ils ont plus de facilités ; moi, je pouvais rêver en pensant à mon avenir ...

A bientôt !

Jean-Noël

Comme l'histoire et les traditions, les valeurs sont transmissibles, mais comment pourrait-il en être ainsi puisque depuis 40 ans il est interdit d'interdir et qu'aujourd'hui il est même interdit d'obliger ?

C'est le même principe qu'applique l'incendaire qui sait très bien que ce ne sera pas lui qui devra éteindre le feu !

Kristian,
Je maintient que si tous n'avaient pas de mobylette ou de salle de bain, nous avions une vie plus saine et dans le fond plus heureuse et moins matérielle que nos jeunes... Et si nous avons ramassé quelques coups de pieds au cul ça ne nous a pas tuer...
Ça fait 40 ans que l'on détruit notre société, je dit bien détruit et non pas modifié car lorsqu'"on" modifie "on" construit différemment, or ça fait 40 ans qu'"on" ne construit plus rien.... Mais c'est un autre débat ! ! !

Bonjour à toutes et à tous !

C'est ma déformation "étudiante" : à qui profite le crime ? Qui a cet intérêt à "détruire" le fonctionnement établi ?

Je remarque une chose : les principaux "acteurs" de la consommation, ce sont les plus jeunes. Maman je veux ci, maman je veux ça. Pourquoi on a pas çi ou ça ?
Il ne manque plus qu'un petite coup pouce de "situation normale"...de rôle d'acteur écouté.

A bientôt !

Jean-Noël

Jean-No, tu n'as pas entendu parler du "Marché" ?
Le "Marché" fait ci, le "Marché" fait ça, le "Marché" nous amène...

Lorsque nos mère pensaient à un nouvel achat, elles regardaient le budget (n'en déplaise aux féministes beaucoup de mère géraient le ménage) et nos mère achetaient ce dont la Famille avait besoin... Il n'y avait pas d'achat "coup de cœur"; on faisait durer les affaires (la voiture ou le tracteur aussi bien que les vêtements), on ne jetait pas les vêtement car plus à la mode...
Le "Marché" a créé des individus malléable à la place des familles unies... Mais là c'est un autre débat...

bonne journée

Un arabe se présente au garage Français d'Alger et demande au mécanicien :
- Peux-tu équilibrer mon chameau ? Il court un peu de travers.
- Oui, dit le mécanicien, qu'il monte sur le pont
Le Marocain fait monter le chameau sur le pont.
Et là, le mécanicien s'accroupit et écrase avec force les testicules du chameau entre deux briques.
Le chameau, plein de douleur, saute du pont et fonce tout droit dans le désert et très vite disparaît de la vue.
- Voilà, dit le mécanicien, il court droit maintenant.
- Ah oui, dit l'arabe, et comment je vais le récupérer maintenant ?
- Pas de problème, répond le mécanicien, monte sur le pont !

Bonjour à tous
Après avoir vu les images du porte container qui ferme le canal de Suez, il me semble que j'ai vu écrit "la sardine" rectifiez moi si je me plante?
Alain

Serge je me reconnais dans ton affiche, mais moi il faut rajouter je n'ai pas le bac
Alain

aab a écrit:Serge je me reconnais dans ton affiche, mais moi il faut rajouter je n'ai pas le bac
Alain

coucou ,moi non plus !

Une femme Amish et sa fille faisaient une randonnée dans une vieille charrette alors qu'il faisait très   froid.
La fille dit à sa mère "J'ai froid aux mains."
Sa mère lui dit: "Mets tes mains entre tes jambes et la chaleur de ton corps va les réchauffer."
La fille fit ce que sa mère lui avait suggéré et ça a fonctionné, ses mains se sont réchauffées.
Le lendemain, la fille faisait une randonnée avec son copain qui lui dit :
"J'ai froid aux mains." La fille lui dit :
"Mets tes mains entre mes jambes et la chaleur de mon corps va les réchauffer".
Le copain fit ce que la fille lui avait suggéré et ça a fonctionné, ses mains se sont réchauffées.
Le jour suivant, le copain et la fille étaient encore en randonnée.
Il dit : "J'ai froid au nez."
La fille lui dit : "Mets ton nez entre mes jambes et la chaleur de mon corps va le réchauffer".
Le copain fit ce que la fille lui avait suggéré et ça a fonctionné, son nez s'est réchauffé.
Le jour suivant, le copain et la fille étaient encore en randonnée.
Il dit : "J'ai froid au pénis."
Le jour suivant, alors que la fille et la mère étaient en randonnée, la fille demande à sa mère :
"As-tu déjà entendu parler d'un pénis ?"
Surprise la mère lui répond : "Oui ..... Pourquoi me demandes-tu ça ?"
La fille lui répond :
"Ça fait un de ces dégâts quand ça dégèle…"

Bonjour,

Celle-là, je vais essayer de la raconter!
JJR24

Bonsoir à tous
Gilles pas mal tes réveils mais il y a tromperie sur la marchandise, le réveil rouge celui là normalement il marche bien et il tient bien l'heure mais le blanc si elle fait l'œuf à 11 heure je n'appelle pas ça un réveil
Alain

voir aussi a quelle heure il est réglé ,car reglage d usine ne peut ce changé ,sauf en prenant un réveil de l est pour qu il sonne de bonne heure ou un de l ouest pour qu il sonne plus tard selon la courbe du soleil

Bonjour à toutes et à tous !

Il y a très longtemps, un jeune commerçant aventurier était parti chercher fortune en Chine.

Ne connaissant pas le pays il se perdit rapidement et se trouva à la famine après plusieurs mois d'errance.

Tout de même favorisé par le sort, il aperçu une vieille maison dont la cheminée fumait. Il se précipita et s'adressa au vieil homme qui lui avait ouvert :
"- Vous êtes mon sauveur. Permettez  moi de manger un peu et de dormir une nuit chez vous !"

Le vieil homme paru embarrassé et devant l'allure moribonde du jeune homme accepta  :
" - Mais avec cette promesse : j'ai une fille, sans doute la plus belle du pays. Si vous levez les yeux sur elle et que vous tentez quoi que ce soit, je  vous ferez subir les 3 tortures chinoises. Ce sera terrible !"

Le  marchand promis, trop content de manger et dormir enfin dans un lit.

Mais lorsqu'il croisa le regard de la jeune fille, ses promesses  s'envolèrent. Elle était sublime et, visiblement, elle craquait aussi pour lui.
Au diable les menaces du Grand-Père ; il alla durant la nuit dans sa chambre dont elle avait, d'ailleurs, laisser la porte ouverte.

Le lendemain il se réveilla avec un sentiment d'oppression qui lui coupait le souffle. il réalisa que quelqu'un avait placé une grosse pierre carrée sur son torse.

Il y avait 3 feuilles de papier accrochées sur 3 des faces du parpaing. Sur la plus proche il pu lire :
"Première torture : cette lourde pierre va t'étouffer lentement !"

"Rigolade ! s'écria le jeune homme, j'ai repris des forces et cette pierre va  passer par cette fenêtre sans problème ! Vous les Chinois et votre réputation de fine torture ! Laisse-moi rire !"

Et au moment où il lâcha la pierre, il eut le temps de lire sur l'autre face : "Deuxième torture : cette pierre est attachée à ta couille droite." Le marchand ne paniqua pas. Il regarda en bas :" Ce n'est pas très haut. Je vais sauter et arriver en même temps que la pierre. Loupée la torture !"

Le jeune homme enjamba l'ouverture et sauta dans le vide. Au moment où il rejoignit la pierre il lut le dernier papier : "3ème torture : ta couille gauche est attachée au pied de ton lit !"
 



A bientôt !

Jean-Noêl