19 Neuvic Portes ouvertes lycée Barbanceys 14 Mars 2020

Bonjour
Le Lycée des métiers de la maintenance des matériels ouvre ses portes pour la présentation de ses différentes filières (agricole, espaces verts,construction et manutention), du club méca, et du musée de la machine agricole.
Le 14 Mars 2020 à Neuvic 19.
Contact:
contact@lycée-barbanceys.com

www.lycée-barbanceys.com

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bonjour
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JP

Bonjour à tous
Je suis désolé pour mon lien qui ne marche pas j'ai du mal à écrire des messages et à joindre des photos car j'ai un panne partielle d'ordi!...
Je vous met le lien d'un article du journal local LA MONTAGNE qui présente l'activité restauration matériels anciens.
https://www.google.com/url?sa=i&source=images&cd=&ved=2ahUKEwjkpdHuj9PmAhVN8OAKHaQVA74QjRx6BAgBEAQ&url=https%3A%2F%2Fwww.lamontagne.fr%2Fneuvic-19160%2Factualites%2Fdes-tracteurs-comme-pieces-de-collection-au-lycee-marcel-barbanceys-a-neuvic-correze_13665918%2F&psig=AOvVaw2dVJZVEKo4KS0fkOk5xLhF&ust=1577443162797771

Le lycée professionnel Marcel-Barbanceys, à Neuvic (Corrèze), abrite un trésor : un musée de tracteurs de collection, que les élèves du Club Méca s’exercent à restaurer.
Le Club Méca, c'est quoi ?Le Club Méca n’est pas une section, ni même une option ordinaire au sein du lycée des métiers de la maintenance des matériels Marcel-Barbanceys, à Neuvic. Tous les mercredis après-midi, une trentaine d'élèves passionnés se réunissent, volontairement, pour remettre en étant les vieux tracteurs, aujourd'hui reconnus de collection, qui ont été amassés, depuis la création du lycée.

Penchés sur un tracteur Société Française, Brandon, Iman et Thomas s’échinent à chauffer à l’essence la chambre de combustion pour que son moteur s’emballe ensuite au diesel. « C’est une passion, assurent-ils en chœur, sinon on ne serait pas ici ! » « Si on ne les connaît pas, ça peut être assez coquin, glisse le troisième. Voire dangereux. Mais ça nous motive. »

« Les bases du métier »
Pour leurs enseignants, ces travaux de restauration sont aussi un gage de réussite. « Aujourd’hui bien sûr, les tracteurs sont truffés d’électronique, mais ils restent constitués d’un moteur, d’une transmission, de cylindres… Ces matériels anciens peuvent leur apprendre les bases de la mécanique. Sachant que les concessions où ils travailleront reçoivent encore beaucoup de ces vieux tracteurs, Et pour nous, c’est la garantie qu’ils resteront dans le métier, parce qu’ils ont vraiment le goût de mettre les mains dans le cambouis. »

D'où viennent ces tracteurs ?Tout a commencé dans les années 1960. À cette époque, à la demande d’élèves férus de vieilles mécaniques et (déjà) d’une occupation le mercredi après-midi, une activité de restauration de tracteurs de collection est lancée. « Dès la création du lycée, on a des élèves passionnés par ce qu’ils font, apprécie l’un de leurs professeurs, Henri Desortiaux. Beaucoup sont issus du monde agricole, fils de concessionnaires en grande partie, ou fils d’agriculteurs. »

Olympiades des métiers en vue !

Trente ans plus tard, pour leur apporter des moteurs à réparer, une association de récupération de vieux tracteurs est créée. L’association du musée du machinisme agricole, de l’agriculture et de l’artisanat rural. Elle en appelle aux agriculteurs dans un rayon d’une vingtaine de kilomètres autour de Neuvic et sort des granges de jolies mécaniques, tout juste rouillées et encore utilisées comme engin secondaire dans les fermes.

Près de 400 matériels agricoles collectés
Près de 400 matériels agricoles sont ainsi regroupés dans un musée, officiellement créé en 2004 :une cinquantaine de tracteurs, des batteuses, tronçonneuses et autres charrues… Que le Club Méca d’aujourd’hui s’emploie à remettre en état de marche. « Aujourd’hui, on a récupéré une vingtaine de tracteurs de la collection du musée, avance Henri Desortiaux. On essaie de les redémarrer, mais il y en a pour 20 ans de travaux avant qu’on ait fini le stock. »

Bientôt un musée ?Depuis 4-5 ans, tous les tracteurs restaurés depuis les années 60 ont été repris par les élèves du Club Méca. « On travaille maintenant à créer un réseau de restauration », qui relierait des associations de collectionneurs (de machines ou de voitures), des fabricants de pièces. « Le plus difficile, c’est de trouver des pièces », précise Henri Desortiaux.

Les Journées du Patrimoine pour commencer
À plus long terme, c’est le musée tout entier que le lycée aimerait faire évoluer. Dans le cadre d’un partenariat avec le service Inventaire et Patrimoine de la Région, en lien avec le rectorat, un Projet d’éducation artistique et culturel (PEAC) est lancé. Il a déjà permis de présenter des engins lors des dernières Journées du Patrimoine.

« L’an prochain, on espère monter en puissance, en incluant l’historique du lycée et des bâtiments. » Un projet de visite augmentée est notamment à l’étude. Jusqu’à, pourquoi pas, créer un vrai musée à part du lycée…

Blandine Hutin-Mercier

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