Impressionnant

Bonjour à toutes et à tous !

Au hasard de recherches, je suis tombé sur ce cliché :


Enorme !

A l'origine j'avais trouvé ça :


Plus conventionnel !

A bientôt !

Jean-Noël

Bonjour

Effectivement soit ils sont petits ou cette engin et gigantesque

a+lionel

bonsoir
Je n'avais jamais vu cet engin immense, en majorité composé de bois!

a+
JP

Ils chargeaient peut être en dessous. On dirait qu'il y a de grosses chaînes entre les roues arrières. En tout cas, si on enlève les trois types en costume qui sembleraient être les patrons et les enfants, il faut un sacré monde pour faire fonctionner cet engin.

A bientôt !

Jean-Noël

Sacré engin ! peut être un trinqueballe , aux U.S. j'avais vu à l'entrée d'un village Mariposa des grandes roues un peu dans ce genre en décoration !!!

Bonjour

Je l'ai deja vu sur pinterest ou je me perd souvant il faut ouvrir un compte  
Je l'ai retrouvé le voila

https://www.pinterest.com/pin/197173289922358264/



Bon dimanche au soleil

Bonjour à toutes et à tous !

Super. Merci Billman. Ce matin j'ai essayé d'affiner la recherche et je suis tombé sur un transport de bille de séquoia et j'ai fermé la page sans faire gaffe. Impossible de retrouver le chemin. L'attelage animal ressemblait à cette machine à vapeur.

Merci également pour le lien ! Si tu suis mes posts tu verras qu'il y aura la place pour les rencontres au hasard …

A bientôt ! Avec le soleil (contrairement à hier dans ch'nord).

Jean-Noël

Bonjour

Voici un lien ou il y a l'explication en anglais mais il y a de belles photo sa compence le texte ....
http://pickeringbrookheritagegroup.com/sawmills7.html
Et là une scirie impressoinnante
https://www.flickr.com/photos/field_museum_library/4587520796/in/photostream/lightbox/
A bientot

 J'ai bien fait de choisir ce titre pour mon post !

Il y a quelques jours, je me suis fait bloquer sur la route du retour par un semi porteur de grumes. Il chargeait sur le bord mais les pieds de stabilisation empiétaient sur la route et c'est assez étroit. Ca n'a pas duré plus d'un 1/4 d'heure. Une dizaine de troncs de peuplier d'un  beau diamètre ; un Scania V8.

Autre temps …


A bientôt !

Jean-Noël

Jean-No a écrit:Bonjour à toutes et à tous !

Super. Merci Billman. Ce matin j'ai essayé d'affiner la recherche et je suis tombé sur un transport de bille de séquoia et j'ai fermé la page sans faire gaffe. Impossible de retrouver le chemin. L'attelage animal ressemblait à cette machine à vapeur.

Merci également pour le lien ! Si tu suis mes posts tu verras  qu'il y aura la place pour les rencontres au hasard …

A bientôt ! Avec le soleil (contrairement à hier dans ch'nord).

Jean-Noël

Jean Noel,

Lorsque tu fermes accidentellement une page, il te suffit juste d'appuyer en même temps sur le clavier de ton ordinateur : "Ctrl+Shift (flèche au dessus de Ctrl)+T" et cela re-ouvre la page précédemment fermée.

ça c'est du micro tracteur

Bonjour à toutes et à tous !


Merci som40s ! C'est utile à savoir. Quand on ouvre plusieurs pages, les onglets s'alignent et la surface de chacun diminue. Au bout du compte, si on veut aller trop vite, on clique sur la croix …

Encore merci !

A bientôt !

Jean-Noël

Jean-No a écrit:Bonjour à toutes et à tous !


Merci som40s ! C'est utile à savoir. Quand on ouvre plusieurs pages, les onglets s'alignent et la surface de chacun diminue. Au bout du compte, si on veut aller trop vite, on clique sur la croix …

Encore merci !

A bientôt !

Jean-Noël

+1 !

Dalton
Je crois que tu as voulu dire "macro tracteur"
comme dit le titre:Impressionnant!.

C'est dingue ces trucs !!!

Je me demande quelle motricité cela avait ? Avec des bandages fer et des petits crampons...

Et ces grandes roues en bois... D'ailleurs certains sont tout en bois !!!

Dommage que le texte est en anglais ! J'aurai bien voulu potasser un peu le sujet. Je vais essayer de trouver des docs en français.

kristian a écrit:C'est dingue ces trucs !!!

Dommage que le texte est en anglais ! J'aurai bien voulu potasser un peu le sujet. Je vais essayer de trouver des docs en français.

Bonjour

Je l'ai trouvé en russe si c'est mieux que l'anglais .....https://vikond65.livejournal.com/124569.html
Perso j'utilise google tranlate copier coller et tu lis la traduction aproximative de google et c'est mieux que de rien entraver .

Et là un autre transport



et un peu de lecture
http://eatonvilletorainier.com/2011/08/three-wheel-logging-truck/

A bientot et bonne lecture

Salut,
Belle bête!

dans le même registre, le Mammoth:
https://vieilles-soupapes.1fr1.net/t33609-mammoth#280896

Yo

oua, pinaise, comme dirait Homer Simpson...

Bonjour Bonjour Kristian Comme toi je me poses la question de la motricité de l'engin ? Mais à mon avis ça devait pas mal adhérer grace au grand diamètre des roues (déjà testé sur le mème tracteur : les roues de grand diamètre adhèrent mieux . Ensuite le fait que l'engin porte la charge au lieu de la trainer améliore l'adhérence ( à mon avis le fait de porter permait aux transporters de montagne de porter environ 3 tonnes dans des pentes pas possible avec seulement une vingtaine de chevaux ) Trainer ou porter doit changer pas mal les choses ???
a + gg 4369

J'ai fait traduire par "translate", ça prend un peu de temps parce qu'il y a un nombre maxi de caractère à ne pas dépasser (3900), et on l’atteint vite !

J'ai fait un copier/coller vite fait sous Word, je le mets si y a des gens intéressés par le sujet :



Cet article intéressant est reproduit à partir des sources combinées d'un livre intitulé "Steam in the Forest" écrit par Maurice Southcombe et d'informations rassemblées au fil de nombreuses années par Phil Wyndham. Bien qu'il ne soit pas directement lié à l'industrie du bois autour de Pickering Brook, il mérite une place sur ce site. Ces énormes moteurs à traction à vapeur ont été utilisés sous diverses formes dans de nombreuses usines pour alimenter des machines ou transporter du bois d’oeuvre parce qu’ils étaient très puissants. Certaines ont été transformées en «caprices» de tracteurs géants et ont été développées lors de la transition des chevaux vers la motorisation dans l'industrie. Les moteurs à traction à vapeur ont été utilisés pour défricher les terres autour du district et Archie Anderson en avait deux. Il était responsable du défrichement des terres autour de Pickering Brook en utilisant ces monstres. Quelques-uns ont été modifiés pour devenir des "caprices motorisés" et utilisés pour traîner des billes de bois à travers la forêt jusqu'aux débarquements de l'usine.   Il semble qu’ils étaient uniques à l’Australie occidentale et seulement quatre de ces énormes "caprices" n’ont jamais été construits. Un véritable morceau de l'histoire de l'industrie du bois. Aucune trace des débuts de la vapeur dans cet État ne serait complète sans une mention du moteur du tracteur à vapeur
Manifestement, M. Wanliss de la Rockingham Timber Company a été l’un des premiers à utiliser ce moyen de transport. Dans "Enquirer" du 16 août 1871, M. Wanliss a importé de Melbourne un moteur de traction de huit chevaux appelé le Thompson's Road Steamer, qui est arrivé dans cet État à bord de la goélette "Azelia". Après son arrivée, il a été utilisé par la société pour les transports généraux liés à la construction de la ligne et au transport de matériaux à destination et en provenance de l'usine. Quelques mois plus tard, l’une de ses tâches consistait à transporter la nouvelle locomotive, la "Governor Weld", de Perth à Rockingham, où elle a été assemblée. Ce tracteur a attiré l'attention du secrétaire des Colonies de l'époque, Sir Luke Leake, qui a montré un grand intérêt pour ce nouveau moyen de transport. Dans "Enquirer" du 1er octobre 1877, un article de presse indique qu'en compagnie de M. Lee Steere, Sir Luke s'est rendu à Jarrahdale en train depuis Rockingham où il a été accueilli par son directeur, M. Steedman. La visite avait été assombrie par le fait qu'un certain George Vackner avait été tué à l'usine la veille, pris dans une ceinture et gravement mutilé. Le rapport poursuivit en affirmant que Sir Luke avait rencontré un vieil ami, le Thompson's Road Steamer, désormais dépouillé de ses roues et qui conduisait les machines à affûter les scies de la scierie. Les moteurs portables et de traction importés ont joué un rôle important dans l’exploitation forestière et forestière du bois australien. Les centrales à vapeur constituaient un risque d'incendie en été, mais elles ont néanmoins fait leurs preuves, car les moteurs pouvaient être alimentés par des chutes de bois et des déchets de bois, un combustible pratiquement gratuit. À la fin des années 1890, plusieurs machines à vapeur construites en Australie et appelées "caprices" travaillèrent dans les forêts proches du district de Yarloop, en Australie occidentale. Ils pourraient enjamber une bûche, puis la soulever et la transporter vers une scierie.

L'idée des caprices a été conçue par un employé de Millar's Timber Company, Harry Stephen, vers 1896. Il pensait évidemment qu'il devait exister un meilleur moyen de transporter les grumes à travers la forêt jusqu'aux usines. Alors il se mit à dessiner son caprice de vapeur (ou son chariot à bûches de transport de vapeur, comme il l'appelait). Après avoir élaboré le concept de son invention, il déposa une demande de brevet préliminaire alors qu’il vivait à Torbay en mars 1897, mais ne poursuivit jamais sa demande de brevet: bien que la plaque signalétique du côté des caprices les proclamait "Stephen's Brevet". La demande de brevet semble avoir été déposée avant la construction des prototypes car le prototype fantaisie à vapeur ne comportait pas plusieurs des éléments mentionnés dans le cahier des charges: - "chaudière à tourets"; "chariot coulissant" sous le châssis et le "mécanisme d'entraînement" n'était pas un câble métallique, comme décrit, mais une courroie à maillons passant sur des roues dentées pour présenter le glissement. Remarque: lors de ses recherches, Phil Wyndhan a essayé d'obtenir une copie de la demande de brevet de Harry Stephen auprès du "Commissaire aux brevets" de Canberra, et il s'est heurté à une bureaucratie gouvernementale typique. Il n'a pas été autorisé à voir une copie de la demande de brevet car celle-ci était toujours en attente. Phil a fait remarquer que cela faisait maintenant 90 ans que le logement avait été déposé et que, par conséquent, il n’était pas pertinent. Il n'avait toujours pas de joie, alors il a écrit au député fédéral local, qui à son tour a écrit au ministre des Sciences, qui lui avait donné l'autorisation de disposer d'une copie de la demande de brevet. Donc, au bout de 4 mois, il a finalement obtenu sa copie   Millar s'est montré intéressé par cette idée et lui a apporté toute l'aide nécessaire, y compris l'utilisation de l'atelier de la société. Le prototype fantaisiste à vapeur à ossature de bois, construit vers 1897, a probablement été construit à Torbay ou au Danemark, mais cela ne peut pas être confirmé.

Ce caprice d’origine, ou "calèche de transport à vapeur", consistait en un cadre et une plate-forme en bois d’une largeur approximative de 25 x 7 pieds, répartis sur quatre grandes roues, ayant un diamètre de presque 10 pieds à l’avant et un diamètre de 11 pieds à l’arrière. La puissance était fournie par un moteur à vapeur monocylindre de 8 pouces de diamètre alimenté par une chaudière verticale. Le bois de chauffage était transporté sur une plate-forme allongée derrière la chaudière. Un treuil à vapeur et un câble et des chaînes en acier ont été utilisés pour soulever les grumes, qui ont été sécurisées sous le caprice par des chaînes et des crochets à libération rapide. Le caprice pourrait porter environ 19 tonnes à la fois. Un homme était employé pour diriger la machine et un autre pour s'occuper de la chaudière. Ce caprice est devenu la première forme mécanisée de transport de grumes en Australie occidentale.









Ce prototype formait la base d'un caprice à ossature d'acier fabriqué à Melbourne par le Geo. W. Kelly Company (plus tard Kelly & Lewis). Une chaudière horizontale à l'arrière alimente un seul cylindre qui, à son tour, passe par divers engrenages et embrayages, les roues motrices arrière, les treuils de direction et de levage. Les roues motrices avaient un diamètre de 2,70 m (9'0 ") et les roues avant un diamètre de 2,40 m (8'0"). La machine entière mesurait près de 8,00 m (26'0 ") de long. Les roues étaient fixées à de grands essieux arqués similaires aux caprices du bœuf standard. de bois







PRIS EN 1914. ON NE SAIT PAS QU'IL A ÉTÉ CONSTRUIT. Notez la force supplémentaire,  DES ROUES PLUS FORTES ET UN CADRE EN ACIER COMPARÉ AVEC UN CADRE EN BOIS SUR LE MODÈLE ANTÉRIEUR. Évidemment, le constructeur STEVENS PROFITE DE L'EXPÉRIENCE DU MODÈLE ANTÉRIEUR. # 5   Conduire le monstre était à la fois un art et une science et seuls cinq hommes ont réussi. Ils étaient Harry Stephen Senior, Harry Stephen Junior, Jim Stephen, George Fisk et George Scott. L'équipage d'un caprice à la vapeur était composé d'un chauffeur, d'un pompier chargé de l'exploiter, et d'un abatteur et d'un swamper au sol pour préparer et attacher les bûches à transporter. Pour transporter les bûches, la vapeur aurait enjambé la bûche, les 2 jeux de câbles en acier, l’avant et l’arrière, passeraient sous la bille, qui serait ensuite relevée en position de transport par les treuils à vapeur, avant d’être sécurisée par des chaînes attaches rapides. Le caprice s'est ensuite dirigé vers le chemin de fer le plus proche, où il publierait sa grume, prête à être chargée sur les wagons de chemin de fer. Le caprice des cadres en acier semble avoir subi de nombreux changements au cours de sa vie professionnelle. Les roues à châssis en acier ne semblent pas avoir été très satisfaisantes, comme le montre une photographie prise en 1900 avec quatre roues en bois. Divers autres amendements semblent avoir été apportés, vraisemblablement par expérience, tout en travaillant avec le caprice. La chaudière a également été changé pour un type vertical. À l’aube, il s’enfonce dans la forêt à 7 km / h. commencer à transporter jusqu’à 12 gros billots jusqu’à l’atterrissage de la voie ferrée, en quelques jours. Les caprices ont tracé leurs propres routes à travers la brousse, à la manière d’un tapis d’éléphants, abattre broussailles et petits arbres lorsqu’il était chargé à 4 m.h.h. Ils étaient aussi hauts qu'un autobus à impériale et entièrement chargés pesaient autant qu'un avion de ligne DC6. Le conducteur a guidé à la vapeur, a travaillé les treuils à la vapeur et l'a conduit à la vapeur. Son compagnon alimentait la chaudière avec du bois de chauffage, un peu comme si on chauffait un appareil de chauffage pour le bain. Des boursiers appelés "marcheurs" sont allés de l’avant, coupant du bois et l’empilant près de la piste pour le ramasser au fur et à mesure. Le problème principal de la machine était l’eau: il faudrait environ 150 gallons pour un voyage de trois milles. Quand il le pouvait, la machine s'arrêtait près d'un ruisseau pour faire le plein.

Ces caprices étaient limités quant à l'endroit où ils pourraient travailler. Ils ne pouvaient pas travailler en hiver lorsque le sol devenait trop mou pour supporter le poids de la fantaisie lorsqu’ils étaient chargés et, au cours de nos longs étés secs, ils devaient travailler à proximité d’un ruisseau pour reconstituer leurs réserves d’eau à intervalles fréquents. Bien que la performance du caprice de la vapeur ait été limitée, Millar doit l’avoir considérée comme valable. Entre 1904 et 1906, au moins deux plus grandes machines à ossature de bois ont été construites dans les ateliers de Millar à Yarloop. Ces grands caprices mesuraient plus de 9,00 m (30 pi), avaient une largeur de voie d’environ 4,00 m (13 pi 0 po) et pouvaient transporter des grumes d’une longueur maximale de 18,00 m (60 pi 0 po) et de 1,50 m (5 km). "0") diamètre, ou une circonférence de 4,80 m (15'9 ") au milieu. Il leur a fallu 12 mois pour fabriquer et coûter une petite fortune, mais il y avait beaucoup d'argent à gagner dans le pays du bois à l'époque. Une photographie montre "porter 30 tonnes" écrit sur le côté. Une bûche de Jarrah de 18,0 m de long pèserait environ 30 tonnes selon sa









Le caprice à ossature d'acier et les deux plus grands caprices à ossature de bois semblent avoir fonctionné pour les usines Millar dans la région de Yarloop, principalement celles de Hoffman et de Mornington. Cela pourrait être dû au fait que toute panne, telle qu'une roue ou un essieu brisé, pourrait être réparée dans l'atelier de Yarloop. Il semblerait qu’un seul caprice ait pu s’opérer près du Danemark, sur la côte sud. L'un des caprices était alimenté par une machine à vapeur composée, un cylindre haute pression et un cylindre basse pression. Les deux autres étaient beaucoup plus puissants et l’un avait deux cylindres de 7 pouces et pouvait faire 15 mi.p.h.

























Les caprices ont fonctionné de façon constante depuis leur construction à la fin des années 1890 jusqu'en 1914, année où tous les opérateurs sont partis à la guerre, ainsi que de nombreux autres ouvriers du bois. Pendant les années de guerre, l'inventeur Harry Stephen, résidant maintenant à Gosnells, décéda le 15 décembre 1915 à l'hôpital privé Helen, rue Stirling, à Perth, à l'âge de 70 ans. Il a été enterré au cimetière Karrakatta, section presbytérienne D. A. Intrigue 604. Son fils aîné, Henry Charles, a explosé à Bullecourt en 1917. James et George étaient monteurs / mécaniciens chez Millar's à Torbay et ont déménagé dans divers moulins Millar. James a été tué dans un incendie dans son camp alors qu'il travaillait comme ingénieur à la mine d'or de Lake View Lease, Kalgoorlie, au début du mois de novembre 1915. George s'était porté volontaire pour se battre pendant la Première Guerre mondiale. On ignore ce qui s'est passé après le retour de George Première guerre mondiale, il mourut en 1948. Après la guerre, les caprices de la vapeur ne semblèrent plus jamais avoir fonctionné. Ils furent ensuite remplacés par des tracteurs à chenilles.

Ce qui est arrivé au prototype fantaisiste à la vapeur reste inconnu mais le dernier des fantasmes à la vapeur en bois construit en 1906 a été acheté par la Standard Quarry Co. (Vic.) En 1912 pour transporter de la pierre d’un endroit à l’autre. Les autres caprices à ossature de bois ont été détruits par un feu de brousse dans les années 1930. Les efforts de Charles Craig, surintendant des usines Millar, ont permis de conserver la machine à charpente d'acier dans la brousse près de Cookerup jusqu'en 1964, année de la fermeture définitive de l'usine Millar's Hoffman. Les marchands de ferraille ont réduit en quelques jours ce qui aurait pu être un souvenir historique de l'industrie du bois. Ainsi se termine un autre chapitre de l’histoire de la vapeur dans les bois.





















Les moteurs à traction à vapeur ont également été utilisés plus tard par les Millar Bros. dans la région du Danemark pour le transport des billes. Celles-ci étaient équipées d'un tambour à l'intérieur de l'une des roues arrière sur lesquelles étaient enroulés plusieurs centaines de pieds d'épais câbles d'acier. Lorsque les conditions étaient trop difficiles pour que le tracteur puisse transporter la grume, il attachait la corde sur la grume puis avançait, en libérant la corde jusqu'à atteindre un grand arbre. Après avoir appuyé la roue contre l’arbre, les roues ont été démultipliées et l’engrenage à tambour engagé. La grume était ensuite treuillée jusqu'à ce que toute la corde soit enroulée, puis le processus était répété. De cette façon, la bûche atteindrait finalement le palier.

Un autre exemple digne de mention est celui acheté par la Buckingham's, une autre entreprise de meunerie, au cours des années 1880. Cette machine remarquable a d'abord été utilisée dans la région de Kelmscott-Roleystone en tant que moteur de traction à vapeur ordinaire. Un peu plus tard, il a été converti en treuil et utilisé pour tirer les billes. Encore plus tard, elle fut à nouveau convertie, cette fois en locomotive à engrenages. Ce dernier rôle a manifestement été très fructueux, car il a poursuivi ce travail pendant plusieurs années avant de le rejeter.







La Adeliade Timber Company a également utilisé l'un de ces moteurs de traction à vapeur convertis comme locomotive jusqu'au milieu des années 30. Celui-ci était connu comme "Sniffing Liz" et était un spectacle familier à l'usine de Wilga pendant de nombreuses années. Le moteur de traction à vapeur était également très demandé au début du "Group Settlements" dans les années 1920 et était largement utilisé pour les opérations d’abattage et de défrichage. Les moteurs à traction à vapeur ont été utilisés pour défricher les terres autour du district et Archie Anderson en avait deux. Il était responsable du défrichement des terres autour de Pickering Brook en utilisant ces monstres.

Désolé, les photos enregistrées sous Word sont pas passées !!!

Bonjour à toutes et à tous !
Merci Kristian pour ta patience !

Une belle page d'histoire loin de chez nous ! avec ce que les hommes peuvent inventer on déplacerait (on déplace) des montagnes. Je pense aux tombereaux géants dans les mines à ciel ouvert et tant d'autres.

C'est toujours le gain qui justifie les dépenses mais il y avait quand même ce côté pionnier …

Si je peux, un jour je ferrai des photos d'un char pour transporter les grumes. C'est un système astucieux de levier et de treuil à main pour soulever la bille et l'amener vers la scierie. Si vous avez vu le rassemblement de Créquy il y a trois ans, il était exposé. Son proprio est mon voisin. Son père s'en servait pour sa scierie. Il ramenait des grumes de hêtre d'un sacré diamètre.

Le char est à l'abri sous un Hangard mais la maison dont il dépend a été vendue. C'est moins facile d'y accéder même si c'est pile en face de chez moi.

A bientôt !


Jean-Noël

Bonjour à toutes et à tous !



Après il épaule et il jette …

A bientôt !

Jean-Noël

Bonjour

Deja vue sur heavy equipment sur pinterest .
Il y a un up date pour le sujet .
http://pickeringbrookheritagegroup.com/sawmills7.html
Et un autre truc pour le transport de bois

Là plein d'autres
https://www.pinterest.com/pin/345158758917597403/
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A bientot