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Bates Tractors Compagny
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Bates Tractors Compagny
par CJ 7/1/2011, 00:13
Bonjour, ci-après deux publicités pour deux tracteurs de la même marque
mais néanmoins très différents
Bates steel-mule (la mule d'acier) tracteur semi-chenillé, les roues sont à l'avant
Bates-Joliet, les roues sont à l'avant et la voie est réglable, le volant de direction est télescopique
mais néanmoins très différents
Bates steel-mule (la mule d'acier) tracteur semi-chenillé, les roues sont à l'avant
Bates-Joliet, les roues sont à l'avant et la voie est réglable, le volant de direction est télescopique
CJ- Résident permanent
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GORDINI 07- Modérateur
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Re: Bates Tractors Compagny
par bernard 13 12/10/2015, 13:48
bonjour a TOUS allez une petite contribution sur ces vieux chenillards
bernard 13- Grand fan du forum
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 12/10/2015, 17:33
MERCI pour ton aide !
a+
JP
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GORDINI 07- Modérateur
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 1/5/2016, 08:19
bonjour
petite remontée de ce sujet :
a+
JP
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GORDINI 07- Modérateur
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Re: Bates Tractors Compagny
par Capblanc 5/6/2019, 14:40
Bonjour à tous,
Voici un intéressant article concernant cette marque :
Naissance de la mule d'acier de Bates
Le Bates Steel Mule était l’un des modèles de tracteurs les plus inhabituels de l’ère expérimentale.
Par Sam Moore | Octobre 2017
Je relisais un article en deux parties sur les tracteurs Bates Steel Mule dans un magazine britannique aujourd'hui disparu, que je prenais auparavant, appelé Old Tractor . L'article a été écrit par mon ami Peter J. Longfoot, un expert à la fois des tracteurs à chenilles et des plates-formes de labour à la vapeur qui étaient si populaires en Grande-Bretagne. Il a soulevé une question intéressante dans la pièce à laquelle je reviendrai plus tard.
Madison F. Bates, fils d'un forgeron né en 1869, est allé travailler chez Olds Co. à Lansing, dans le Michigan, à l'âge de 22 ans et a appris à devenir un machiniste et un dessinateur de talent. Quittant Olds après six ans, il s’associe à James P. Edmonds pour former Bates & Edmonds Motor Works, où ils construisent des moteurs à essence, ainsi qu’environ 25 voitures Bates (le slogan de la société est «Achetez un Bates et tenez vos dates! ) entre 1903 et 1905.
MF Bates a été mordu par le virus du tracteur vers 1910, a formé la société Bates Tractor Co. et a présenté son premier tracteur l'année suivante. Plutôt élégante et légère à l’époque, la machine de 30 CV pesait à peine 8 000 livres et possédait un capot fermé et une cabine de type locomotive, même si la direction était assurée par des chaînes croisées menant à un essieu avant à pivot central. Bates of Lansing a continué à fabriquer des tracteurs de deux, trois et quatre tailles de charrue jusqu'en 1919.
Racines en fil de fer barbelé
Entre-temps, à Joliet, dans l'Illinois, une famille entièrement différente de Bates travaillait depuis plusieurs décennies à la fabrication de clôtures métalliques et d'autres produits. Bien que les informations historiques sur les frères et la société soient rares, voici l'histoire pour autant que je puisse déterminer.
Les frères Albert J. et William O. Bates (tous deux nés au Canada dans les années 1860 mais amenés très jeune dans le Missouri) ont suivi une formation de machiniste et se sont retrouvés à Joliet. En 1885, ils y établirent un atelier d'usinage sous le nom de Bates Brothers. L'utilisation du fil de fer barbelé commençait à se généraliser, mais sa fabrication était difficile et AJ Bates a inventé des machines pour faciliter le processus. AJ semble avoir quitté le partenariat vers 1888 (ou peut-être plus tard) et il a été réorganisé sous le nom de Bates Machine Co. sous la direction de l'Adjudant Bates, qui a construit les machines à fil et à clouer ainsi que les moteurs à vapeur Corliss et les chauffe-eau d'alimentation Cookson. et purificateurs.
Dans l’histoire de Will County, dans l’Illinois, en 1907, l’usine de Bates couvrait 6 acres et employait «plus de 300 ouvriers qualifiés», et «la production est passée de 35 000 dollars par an à plus de 750 000 dollars et les produits sont expédiés à le globe."
Conçu pour l'éleveur de chevaux
Vers 1913, le fils de l'adjudant Bates, Harry, commença à concevoir un tracteur construit par Joliet Oil Tractor Co. (probablement une entreprise créée par Bates) et qui fut introduit vers la fin de cette année.
Appelé le «mule d'acier», il s'agissait de l'un des modèles de tracteur les plus inhabituels de cette époque expérimentale. Un radiateur à tube rond à l'avant, se fondant dans un long capot demi-rond recouvrant le moteur, et un réservoir à essence rond à l'arrière, ressemblant à une chaudière à moteur à vapeur et à sa boîte à fumée, étaient soutenus par deux roues à l'avant et une seule chenille basse centrée à l'arrière. Un tuyau horizontal télescopique se terminant par trois molettes de tailles différentes et un petit levier faisait saillie à l'arrière de la machine. La plus petite des trois roues actionnait l'embrayage, la roue centrale était le volant et la plus grande des roues entraînait la transmission, tandis que le levier servait de commande des gaz.
Les publicités de Bates indiquaient aux acheteurs potentiels que le Steel Mule était «La seule machine au monde que vous pouvez atteler à un outil tiré par un cheval que vous possédez maintenant et que vous puissiez le faire fonctionner à la même position que vos chevaux», et a montré des photos du tracteur tirant un classeur à grains, un cultivateur à 2 rangs, une perceuse à grains, une herse à disques et une charrue collective, le conducteur assis sur le siège de l'outil.
"Un mystère pour les non-initiés"
Le numéro du 16 juin 1916 du magazine Adelaide (Australie) contenait un article sur un mulet d'acier récemment importé et le décrivait ainsi: «Le mulet d'acier est une machine extraordinaire. Il pèse moins de 2 tonnes et peut être tourné en moins que sa propre longueur. En apparence, il ressemble à un tube de 10 pieds, d'environ 18 pouces de diamètre, monté sur des roues, et d'où provient sa force est un mystère pour le non-initié. L'alimentation est fournie par un moteur de 30 CV dissimulé dans le châssis tubulaire. Seul un gallon de kérosène est consommé, tandis que le «mulet» laboure un acre de terrain. »
Le moteur à 4 cylindres (de marque inconnue) avait un alésage et une course de 4-1 / 4 par 5-3 / 4-inch et une transmission à deux vitesses. La voie à chenilles unique était entraînée par une grande chaîne à rouleaux nickel-argent et reposait sur trois roues folles superposées dans un cadre articulé sur le châssis du tracteur à l'arrière et situé à l'avant par de lourds ressorts hélicoïdaux. Cette caractéristique a permis de garder la piste en contact avec un sol accidenté.
Ce que l’on appelait un «attelage à levier composé» avait la barre de traction attachée vers l’avant du cadre de voie oscillant. Cela a entraîné une charge sur le timon d'attelage qui s'est abaissée sur l'avant de la voie et a augmenté la traction.
En 1918, Bates construisait le modèle en acier, de conception plus conventionnelle, comportant deux chenilles à chenilles à l'arrière, deux roues avant directrices, un moteur Erd à 4 cylindres et une transmission à deux vitesses. monté à 15-22 en 1920.
Ramification dans les chenilles complètes
Pour des raisons inconnues, Bates Tractor Co. de Lansing et Joliet Oil Tractor Co. ont fusionné en 1919 pour former Bates Machine & Tractor Co. à Joliet.
Deux ans plus tard, en 1921, le mulet en acier modèle F a été introduit. Cela ressemblait beaucoup au modèle D, à la différence qu’il était plus lourd à 4 850 livres avec un moteur Midwest à 4 cylindres et soupapes en tête (alésage et course de 4 1/8 sur 5 1/4 pouces) d’une puissance nominale de 18 à 25 CV. . Plus tard, les moteurs Beaver ont été utilisés, et plus tard encore, les moteurs LeRoi. La production a cessé en 1937.
Bates a également construit des tracteurs à chenilles complètes à partir de 1925, y compris les modèles 25, 35, 40, 45 et, en 1931, le grand, un modèle 80 tonnes, fonctionnant à l'aide de moteurs Waukesha et Beaver et bien conçus. construit. Au milieu des années 1930, un moteur Waukesha à six cylindres était utilisé dans les modèles Bates 35 et 45 ainsi que dans le modèle 50 nouvellement introduit. Bates utilisait également des moteurs de type Hesselmann semi-diesel et introduisait un modèle 40 entièrement diesel Waukesha-Hesselmann 1937, juste avant la fermeture de l'usine plus tard cette année-là, une autre victime de la Grande Dépression.
Cercle complet
En ce qui concerne la question mentionnée précédemment, Peter Longfoot a posé la question suivante: «Si le« mule d'acier »de Bates était un produit de Joliet Oil Tractor Co., pourquoi l'appelait-il un Bates dès 1916? Il semble n'y avoir aucun lien perceptible entre les opérations Joliet et Bates avant la fusion de 1919. »Apparemment, les recherches de Peter ne révèlent pas le fait qu'une autre famille Bates était impliquée dans l'opération Joliet. FC
Sam Moore a grandi dans une ferme de l'ouest de la Pennsylvanie. Il vit maintenant à Salem, dans l'Ohio, et collectionne des tracteurs antiques, des instruments et des articles connexes.
Le BATES 35
Un Bates sans référence, fort probablement un morceau de la "BULE STEEL MULE" , voir post suivant:
Bates 40
Bates 80
à suivre ...
Voici un intéressant article concernant cette marque :
Naissance de la mule d'acier de Bates
Le Bates Steel Mule était l’un des modèles de tracteurs les plus inhabituels de l’ère expérimentale.
Par Sam Moore | Octobre 2017
Je relisais un article en deux parties sur les tracteurs Bates Steel Mule dans un magazine britannique aujourd'hui disparu, que je prenais auparavant, appelé Old Tractor . L'article a été écrit par mon ami Peter J. Longfoot, un expert à la fois des tracteurs à chenilles et des plates-formes de labour à la vapeur qui étaient si populaires en Grande-Bretagne. Il a soulevé une question intéressante dans la pièce à laquelle je reviendrai plus tard.
Madison F. Bates, fils d'un forgeron né en 1869, est allé travailler chez Olds Co. à Lansing, dans le Michigan, à l'âge de 22 ans et a appris à devenir un machiniste et un dessinateur de talent. Quittant Olds après six ans, il s’associe à James P. Edmonds pour former Bates & Edmonds Motor Works, où ils construisent des moteurs à essence, ainsi qu’environ 25 voitures Bates (le slogan de la société est «Achetez un Bates et tenez vos dates! ) entre 1903 et 1905.
MF Bates a été mordu par le virus du tracteur vers 1910, a formé la société Bates Tractor Co. et a présenté son premier tracteur l'année suivante. Plutôt élégante et légère à l’époque, la machine de 30 CV pesait à peine 8 000 livres et possédait un capot fermé et une cabine de type locomotive, même si la direction était assurée par des chaînes croisées menant à un essieu avant à pivot central. Bates of Lansing a continué à fabriquer des tracteurs de deux, trois et quatre tailles de charrue jusqu'en 1919.
Racines en fil de fer barbelé
Entre-temps, à Joliet, dans l'Illinois, une famille entièrement différente de Bates travaillait depuis plusieurs décennies à la fabrication de clôtures métalliques et d'autres produits. Bien que les informations historiques sur les frères et la société soient rares, voici l'histoire pour autant que je puisse déterminer.
Les frères Albert J. et William O. Bates (tous deux nés au Canada dans les années 1860 mais amenés très jeune dans le Missouri) ont suivi une formation de machiniste et se sont retrouvés à Joliet. En 1885, ils y établirent un atelier d'usinage sous le nom de Bates Brothers. L'utilisation du fil de fer barbelé commençait à se généraliser, mais sa fabrication était difficile et AJ Bates a inventé des machines pour faciliter le processus. AJ semble avoir quitté le partenariat vers 1888 (ou peut-être plus tard) et il a été réorganisé sous le nom de Bates Machine Co. sous la direction de l'Adjudant Bates, qui a construit les machines à fil et à clouer ainsi que les moteurs à vapeur Corliss et les chauffe-eau d'alimentation Cookson. et purificateurs.
Dans l’histoire de Will County, dans l’Illinois, en 1907, l’usine de Bates couvrait 6 acres et employait «plus de 300 ouvriers qualifiés», et «la production est passée de 35 000 dollars par an à plus de 750 000 dollars et les produits sont expédiés à le globe."
Conçu pour l'éleveur de chevaux
Vers 1913, le fils de l'adjudant Bates, Harry, commença à concevoir un tracteur construit par Joliet Oil Tractor Co. (probablement une entreprise créée par Bates) et qui fut introduit vers la fin de cette année.
Appelé le «mule d'acier», il s'agissait de l'un des modèles de tracteur les plus inhabituels de cette époque expérimentale. Un radiateur à tube rond à l'avant, se fondant dans un long capot demi-rond recouvrant le moteur, et un réservoir à essence rond à l'arrière, ressemblant à une chaudière à moteur à vapeur et à sa boîte à fumée, étaient soutenus par deux roues à l'avant et une seule chenille basse centrée à l'arrière. Un tuyau horizontal télescopique se terminant par trois molettes de tailles différentes et un petit levier faisait saillie à l'arrière de la machine. La plus petite des trois roues actionnait l'embrayage, la roue centrale était le volant et la plus grande des roues entraînait la transmission, tandis que le levier servait de commande des gaz.
Les publicités de Bates indiquaient aux acheteurs potentiels que le Steel Mule était «La seule machine au monde que vous pouvez atteler à un outil tiré par un cheval que vous possédez maintenant et que vous puissiez le faire fonctionner à la même position que vos chevaux», et a montré des photos du tracteur tirant un classeur à grains, un cultivateur à 2 rangs, une perceuse à grains, une herse à disques et une charrue collective, le conducteur assis sur le siège de l'outil.
"Un mystère pour les non-initiés"
Le numéro du 16 juin 1916 du magazine Adelaide (Australie) contenait un article sur un mulet d'acier récemment importé et le décrivait ainsi: «Le mulet d'acier est une machine extraordinaire. Il pèse moins de 2 tonnes et peut être tourné en moins que sa propre longueur. En apparence, il ressemble à un tube de 10 pieds, d'environ 18 pouces de diamètre, monté sur des roues, et d'où provient sa force est un mystère pour le non-initié. L'alimentation est fournie par un moteur de 30 CV dissimulé dans le châssis tubulaire. Seul un gallon de kérosène est consommé, tandis que le «mulet» laboure un acre de terrain. »
Le moteur à 4 cylindres (de marque inconnue) avait un alésage et une course de 4-1 / 4 par 5-3 / 4-inch et une transmission à deux vitesses. La voie à chenilles unique était entraînée par une grande chaîne à rouleaux nickel-argent et reposait sur trois roues folles superposées dans un cadre articulé sur le châssis du tracteur à l'arrière et situé à l'avant par de lourds ressorts hélicoïdaux. Cette caractéristique a permis de garder la piste en contact avec un sol accidenté.
Ce que l’on appelait un «attelage à levier composé» avait la barre de traction attachée vers l’avant du cadre de voie oscillant. Cela a entraîné une charge sur le timon d'attelage qui s'est abaissée sur l'avant de la voie et a augmenté la traction.
En 1918, Bates construisait le modèle en acier, de conception plus conventionnelle, comportant deux chenilles à chenilles à l'arrière, deux roues avant directrices, un moteur Erd à 4 cylindres et une transmission à deux vitesses. monté à 15-22 en 1920.
Ramification dans les chenilles complètes
Pour des raisons inconnues, Bates Tractor Co. de Lansing et Joliet Oil Tractor Co. ont fusionné en 1919 pour former Bates Machine & Tractor Co. à Joliet.
Deux ans plus tard, en 1921, le mulet en acier modèle F a été introduit. Cela ressemblait beaucoup au modèle D, à la différence qu’il était plus lourd à 4 850 livres avec un moteur Midwest à 4 cylindres et soupapes en tête (alésage et course de 4 1/8 sur 5 1/4 pouces) d’une puissance nominale de 18 à 25 CV. . Plus tard, les moteurs Beaver ont été utilisés, et plus tard encore, les moteurs LeRoi. La production a cessé en 1937.
Bates a également construit des tracteurs à chenilles complètes à partir de 1925, y compris les modèles 25, 35, 40, 45 et, en 1931, le grand, un modèle 80 tonnes, fonctionnant à l'aide de moteurs Waukesha et Beaver et bien conçus. construit. Au milieu des années 1930, un moteur Waukesha à six cylindres était utilisé dans les modèles Bates 35 et 45 ainsi que dans le modèle 50 nouvellement introduit. Bates utilisait également des moteurs de type Hesselmann semi-diesel et introduisait un modèle 40 entièrement diesel Waukesha-Hesselmann 1937, juste avant la fermeture de l'usine plus tard cette année-là, une autre victime de la Grande Dépression.
Cercle complet
En ce qui concerne la question mentionnée précédemment, Peter Longfoot a posé la question suivante: «Si le« mule d'acier »de Bates était un produit de Joliet Oil Tractor Co., pourquoi l'appelait-il un Bates dès 1916? Il semble n'y avoir aucun lien perceptible entre les opérations Joliet et Bates avant la fusion de 1919. »Apparemment, les recherches de Peter ne révèlent pas le fait qu'une autre famille Bates était impliquée dans l'opération Joliet. FC
Sam Moore a grandi dans une ferme de l'ouest de la Pennsylvanie. Il vit maintenant à Salem, dans l'Ohio, et collectionne des tracteurs antiques, des instruments et des articles connexes.
Le BATES 35
Un Bates sans référence, fort probablement un morceau de la "BULE STEEL MULE" , voir post suivant:
Bates 40
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à suivre ...
Dernière édition par Capblanc le 5/6/2019, 14:58, édité 2 fois
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Re: Bates Tractors Compagny
par Capblanc 5/6/2019, 14:52
...suite :
un autre article intéressant concernant le plus ancien (dixit l'auteur) modèle de la marque, la "Bule Steel Mule" :
Ce mulet d’acier était le modèle le plus étrange (et le plus ancien aussi) produit par Bates et sa production a heureusement été de courte durée. Une conception très étrange, disgracieuse et instable, elle méritait une courte vie productive. L’entraînement arrière des chenilles étant peut-être son seul atout, Bates a rapidement adopté des modèles de chenilles plus conventionnels.
Le Western Development Museum a publié un très bon article sur ce tracteur:
Le Bates Steel Mule est l'un des tracteurs les plus inhabituels de la collection du Western Development Museum. À peu près tout le monde qui le voit se demande comment cela a fonctionné. Contrairement aux autres tracteurs de son époque, le Steel Mule n'avait pas de siège. Le conducteur était assis sur l'outil en train d'être tiré, actionnant les commandes avec un volant sur une longue colonne s'étendant sur plusieurs pieds derrière la machine.
Le Steel Mule était un produit de la Joliet Oil Tractor Company de Joliet, dans l'Illinois. Joliet faisait partie des dizaines de petites entreprises cherchant une place sur le marché lucratif des petits tracteurs entre 1910 et 1920. Son premier tracteur a été lancé en 1913. L'une de ses principales caractéristiques de vente était qu'un agriculteur pouvait l'utiliser pour tirer son équipement tiré par un cheval. . La société s'est vantée dans une publicité de 1914:
«La Bule Steel Mule est la seule machine au monde que vous pouvez atteler à n'importe quel outil tiré par un cheval que vous possédez maintenant et la faire fonctionner à la même position que vos chevaux. Quelque chose de plus qu'un tracteur - la seule machine qui prenne vraiment la place de vos chevaux. "(Gas Power, septembre 1914, p. 77)
Avec des roues avant réglables en acier écartées et un" chenillé "à l'arrière, la Steel Mule aurait pu tirer une charrue à deux ou trois fonds, un cartable ou une tondeuse, une herse à disques ou un semoir. La compagnie a comparé le robot aux chars britanniques de la Première Guerre mondiale utilisés lors de la bataille de la Somme.
«Ces machines doivent traverser toutes les conditions imaginables du sol où les roues ne pourraient pas être utilisées. Vous avez également besoin du «Crawler» sur votre tracteur pour pouvoir utiliser la machine tous les jours, en toute saison, quel que soit l'état du sol. »(Gas Power, mars 1917, p. 65)
Selon l'édition de 1917 de The Modern Gas Tractor, le Steel Mule était «contrôlé au moyen de trois roues et d'un levier au bout d'une longue colonne composée de trois longueurs de tube, l'une à l'intérieur de l'autre. Cette colonne de commande est reliée au tracteur par un joint universel et peut être basculée à volonté dans la position souhaitée. La roue médiane est la direction, la petite roue devant le volant commande l'embrayage et la roue restante actionne le mécanisme de changement de vitesse. La commande du carburateur (...) se présente sous la forme d'un levier se projetant devant le volant de commande d'embrayage. »L'auteur a décrit le Mule comme« un véritable cheval de bataille ».
Dans les années de l'adolescence, les comparaisons entre l'agriculture avec des chevaux et l'agriculture avec des tracteurs figuraient en bonne place dans le matériel promotionnel. Les fabricants voulaient prouver que la puissance du tracteur était moins chère que la puissance du cheval: l'auteur d'un article paru dans Gas Power en septembre 1914 vantait les vertus du Steel Mule: «Quand vous vous arrêtez pour considérer que le prix d'environ trois bons chevaux est le prix de cette machine et qu’elle est capable de faire chaque classe de travail que les chevaux peuvent faire, ainsi que de fournir de la puissance à des fins générales pour le travail agricole de toutes sortes, on comprend aisément qu’il existe une demande énorme pour une telle machine. Quatre chevaux tirant une reliure de 6 pieds peuvent couper environ 12 hectares par jour, et cette tenue, tirant une reliure de 8 pieds et allant à grande vitesse, est capable de couper de 35 à 40 acres par jour. Joliet affirmait en 1916 que le Steel Mule coûtait presque deux tiers de moins à opérer que les chevaux. Son modèle de 30 ch s'est vendu 895 $ aux États-Unis et a permis à l'agriculteur d'économiser le coût d'un employé.
Le mulet en acier Bates du Western Development Museum a été acquis de Frank Appleby de Pinkham, SK, au début des années 1960. Appleby, un homesteader venu de la province en 1911 en provenance de l’Ontario, a dit au WDM qu’il avait acheté le tracteur en 1917 pour 1375 $ au revendeur de Kindersley. Le poids léger du mulet le rendait adapté aux travaux sur des terrains accidentés, mais son centre de gravité élevé posait problème. Selon Appleby, «cela me contrariait si facilement que je devais abandonner son utilisation à la ferme. Je me suis énervé trois fois au cours de la dernière demi-journée et chaque fois, tout le pétrole et le gaz s’écoulaient sur le sol. »
Comme beaucoup d’autres prétendues bonnes idées en matière d’ingénierie des tracteurs, le Steel Mule de cette conception a été de courte durée. Bates a changé pour une conception de chenilles plus conventionnelle par la fin de l'adolescence. À mesure que les temps changeaient, la Joliet Oil Tractor Company fusionna avec la Bates Tractor Company en 1919 pour former Bates Machine and Tractor Company. Il a continué dans l’activité des tracteurs jusqu’en 1937 bien qu’il ait été repris par Foote Brothers Gear & Machine en 1929.
Une jolie publicité pour terminer..
A +,
Bernard.
un autre article intéressant concernant le plus ancien (dixit l'auteur) modèle de la marque, la "Bule Steel Mule" :
Ce mulet d’acier était le modèle le plus étrange (et le plus ancien aussi) produit par Bates et sa production a heureusement été de courte durée. Une conception très étrange, disgracieuse et instable, elle méritait une courte vie productive. L’entraînement arrière des chenilles étant peut-être son seul atout, Bates a rapidement adopté des modèles de chenilles plus conventionnels.
Le Western Development Museum a publié un très bon article sur ce tracteur:
Le Bates Steel Mule est l'un des tracteurs les plus inhabituels de la collection du Western Development Museum. À peu près tout le monde qui le voit se demande comment cela a fonctionné. Contrairement aux autres tracteurs de son époque, le Steel Mule n'avait pas de siège. Le conducteur était assis sur l'outil en train d'être tiré, actionnant les commandes avec un volant sur une longue colonne s'étendant sur plusieurs pieds derrière la machine.
Le Steel Mule était un produit de la Joliet Oil Tractor Company de Joliet, dans l'Illinois. Joliet faisait partie des dizaines de petites entreprises cherchant une place sur le marché lucratif des petits tracteurs entre 1910 et 1920. Son premier tracteur a été lancé en 1913. L'une de ses principales caractéristiques de vente était qu'un agriculteur pouvait l'utiliser pour tirer son équipement tiré par un cheval. . La société s'est vantée dans une publicité de 1914:
«La Bule Steel Mule est la seule machine au monde que vous pouvez atteler à n'importe quel outil tiré par un cheval que vous possédez maintenant et la faire fonctionner à la même position que vos chevaux. Quelque chose de plus qu'un tracteur - la seule machine qui prenne vraiment la place de vos chevaux. "(Gas Power, septembre 1914, p. 77)
Avec des roues avant réglables en acier écartées et un" chenillé "à l'arrière, la Steel Mule aurait pu tirer une charrue à deux ou trois fonds, un cartable ou une tondeuse, une herse à disques ou un semoir. La compagnie a comparé le robot aux chars britanniques de la Première Guerre mondiale utilisés lors de la bataille de la Somme.
«Ces machines doivent traverser toutes les conditions imaginables du sol où les roues ne pourraient pas être utilisées. Vous avez également besoin du «Crawler» sur votre tracteur pour pouvoir utiliser la machine tous les jours, en toute saison, quel que soit l'état du sol. »(Gas Power, mars 1917, p. 65)
Selon l'édition de 1917 de The Modern Gas Tractor, le Steel Mule était «contrôlé au moyen de trois roues et d'un levier au bout d'une longue colonne composée de trois longueurs de tube, l'une à l'intérieur de l'autre. Cette colonne de commande est reliée au tracteur par un joint universel et peut être basculée à volonté dans la position souhaitée. La roue médiane est la direction, la petite roue devant le volant commande l'embrayage et la roue restante actionne le mécanisme de changement de vitesse. La commande du carburateur (...) se présente sous la forme d'un levier se projetant devant le volant de commande d'embrayage. »L'auteur a décrit le Mule comme« un véritable cheval de bataille ».
Dans les années de l'adolescence, les comparaisons entre l'agriculture avec des chevaux et l'agriculture avec des tracteurs figuraient en bonne place dans le matériel promotionnel. Les fabricants voulaient prouver que la puissance du tracteur était moins chère que la puissance du cheval: l'auteur d'un article paru dans Gas Power en septembre 1914 vantait les vertus du Steel Mule: «Quand vous vous arrêtez pour considérer que le prix d'environ trois bons chevaux est le prix de cette machine et qu’elle est capable de faire chaque classe de travail que les chevaux peuvent faire, ainsi que de fournir de la puissance à des fins générales pour le travail agricole de toutes sortes, on comprend aisément qu’il existe une demande énorme pour une telle machine. Quatre chevaux tirant une reliure de 6 pieds peuvent couper environ 12 hectares par jour, et cette tenue, tirant une reliure de 8 pieds et allant à grande vitesse, est capable de couper de 35 à 40 acres par jour. Joliet affirmait en 1916 que le Steel Mule coûtait presque deux tiers de moins à opérer que les chevaux. Son modèle de 30 ch s'est vendu 895 $ aux États-Unis et a permis à l'agriculteur d'économiser le coût d'un employé.
Le mulet en acier Bates du Western Development Museum a été acquis de Frank Appleby de Pinkham, SK, au début des années 1960. Appleby, un homesteader venu de la province en 1911 en provenance de l’Ontario, a dit au WDM qu’il avait acheté le tracteur en 1917 pour 1375 $ au revendeur de Kindersley. Le poids léger du mulet le rendait adapté aux travaux sur des terrains accidentés, mais son centre de gravité élevé posait problème. Selon Appleby, «cela me contrariait si facilement que je devais abandonner son utilisation à la ferme. Je me suis énervé trois fois au cours de la dernière demi-journée et chaque fois, tout le pétrole et le gaz s’écoulaient sur le sol. »
Comme beaucoup d’autres prétendues bonnes idées en matière d’ingénierie des tracteurs, le Steel Mule de cette conception a été de courte durée. Bates a changé pour une conception de chenilles plus conventionnelle par la fin de l'adolescence. À mesure que les temps changeaient, la Joliet Oil Tractor Company fusionna avec la Bates Tractor Company en 1919 pour former Bates Machine and Tractor Company. Il a continué dans l’activité des tracteurs jusqu’en 1937 bien qu’il ait été repris par Foote Brothers Gear & Machine en 1929.
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 5/6/2019, 16:01
bonjour
MERCI Bernard pour les compléments fort intéressants !!!
je suis très heureux de ne plus être le seul à alimenter cette rubrique !
a+
JP
MERCI Bernard pour les compléments fort intéressants !!!
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Bates Tractors Company
par Capblanc 5/6/2019, 16:27
Bonjour
Un Bates à roues :
Le propriétaire de la machine avait barbouillé le nom sur la photo en vue de le déposer sur un forum comme tracteur à identifier.
Un JP américain peut-être ?? 
A+,
Bernard.
Un Bates à roues :
Le propriétaire de la machine avait barbouillé le nom sur la photo en vue de le déposer sur un forum comme tracteur à identifier.
Un JP américain peut-être ?? A+,
Bernard.
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 5/6/2019, 17:53
merci Bernard
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Re: Bates Tractors Compagny
par bernard 13 5/6/2019, 18:09
bonsoir bernard et JP.. et merci pour l'article
je propose la vue arrière sur le poste de pilotage avec siège suspendu. SVP....
.
je propose la vue arrière sur le poste de pilotage avec siège suspendu. SVP....
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 5/6/2019, 22:15
Un tracteur à une seule chenille mais à trois volants !!!
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 22/6/2019, 13:31
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 16/10/2020, 21:59
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Re: Bates Tractors Compagny
par GORDINI 07 10/11/2020, 21:16
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