WINTERTHUR Moteurs

PUB de 1904



A+
JP

Bonjour

Aujourd'hui quelques photos d'un moteur Winterthur ou plutôt de .....deux moteurs à pistons à explosion (moteurs à gaz jumelés)
associés à un générateur électromécanique (dynamo Schneider) qui se trouvent (trouvaient ? ) à Saint-Quentin (02)


Georges Angst était l'unique représentant du constructeur WINTERTHUR en France

































































A+
JP

Bonjour, JP,

Belle mécanique je serais incapable de mettre ces moteurs en route!
341 amp/phase (x3p) à l'époque, c'est fort! je trouve
A+JJR24

Bonsoir
C'est vrai que le démarrage ça devait être quelque chose !
mais ces moteurs tournaient en continu...on ne les arrêtait quasiment jamais.
Leur régime de rotation était lent .
C'était l'inertie du volant qui linéarisait la puissance du moteur.
On peut regretter aujourd'hui que la plupart soit parti à la ferraille direct.

A+
JP

Bonsoir,

Oui! moi le premier! pour en avoir vu dans les casses, il y a bien longtemps!
A+JJR24

Bonjour
Pub de l'agent belge des moteurs Winterthur



a+
JP

Bonjour,

Merci pour la doc JP! dommage!  la consommation n'est pas indiquée
A+ JJR24

Bonjour
Une doc (pourrie !!!) de 1911....



un peu éclaircie :



et zoom sur les moteurs (enfin...ceux qui sont suffisamment clairs !)













a+
JP

bonjour



a+
JP

Salut,

depuis Delcampe:



à+,
Yo

GORDINI 07 a écrit:Bonjour

Aujourd'hui quelques photos d'un moteur Winterthur ou plutôt de .....deux moteurs à pistons à explosion (moteurs à gaz jumelés)
associés à un générateur électromécanique (dynamo Schneider) qui se trouvent (trouvaient ? ) à Saint-Quentin (02)


Georges Angst était l'unique représentant du constructeur WINTERTHUR en France



A+
JP

Bonjour
Notre spécialiste des moteurs fixes, François85, me signale qu'à St Quentin, il ne s'agit pas de moteurs à gaz pauvre....mais de DIESEL à injection directe


dans les ronds rouges,  on voit bien l'injecteur devant au milieu de la culasse, et la pompe à injection sur le côté.
Ça correspond bien au diesel SLM du document de 1927.



MERCI François !

Bonjour
"Georges Angst était l'unique représentant du constructeur WINTERTHUR en France"
En plus, ça ce n'est pas juste, avant 1910, c'était la Société Anonyme de Mécanique Industrielle d'Anzin qui était le distributeur des moteurs Winterthur.


Bon mercredi
François

On ne peut vraiment pas faire confiance aux services de l'Etat (service de l'inventaire) !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Deux moteurs à pistons à explosion (moteurs à gaz jumelés Winterthur), générateur électromécanique (dynamo Schneider) et alternateur triphasé Schneider

Ancienne usine de Remicourt (tissage de guipure), puis Décaudin et Béguin, puis de la Cotonnière de Saint-Quentin

Bonsoir
Jean Pierre
Je crois bien qu'il s'agit du bicylindre dont on parle plus haut.

Bonne nuit.
François

Bonjour
En effet, c'est la même photo !
et sur deux sites différents mais tous deux du patrimoine de l'Etat
merci François
a+
JP

Bonjour ,déjà le graissage centralisé !!!!et la pompe à eau qui est loin d'être centrifuge !comme dit plus haut ,c'est dommage que tout ça soit parti à la ferraille !!(c'est vrai que ça fait du poids pour un ferrailleur !!!

Bonjour

Le graissage centralisé existait au tout début des moteurs....exemple les autos de 1900 en étaient équipées parce qu'elles n'avaient pas encore le circuit d'huile interne au moteur.

Bonjour,

SLM Winterthur, constructeur suisse (et aussi commune au nord-est de Zurich), a également produit des locotracteurs dont cet électrique en voie normale utilisé à l'usine de Chedde à Passy (74).
125 ch sous 220 V - vitesse normale 9 km/h et maximale 17 km/h - masse de 17 t - longueur hors tout 6 m.
La partie électrique serait l'oeuvre d'une autre entreprise suisse, Oerlikon, dont on peut croire qu'elle faisait aussi partie du groupe SLM.
Livré en 1916, il porte le numéro de construction 2571 et son numéro de parc de l'usine utilisatrice était le 2.
Restauré à fond dans les années 40, il a été acquis ultérieurement par un récupérateur de métaux avant de l'être par une association locale, qui l'a d'abord exposé près de la gare de Chedde puis mis en monument à proximité de l'usine du même lieu où le voici ci-dessous :

(infos partielles : R&I n° 78)