Beeman

Bonjour, ci-après quelques photo d'un petit traceur américain : Beeman

bonjour
j'essaies de réanimer les nombreux sujets ouverts par Christophe dont les photos ont disparu....
Pour BEEMAN, je n'ai trouvé que des "motoculteurs" même si le Constructeur appelait ça un "tracteur" !









a+
JP

Et notre ami Clochemerle en a trouvé un en France :
https://vieilles-soupapes.1fr1.net/t20650-beenmancarden-minneapolis

a+
JP

Salut,
merci JP de ressortir ces sujets pour la plupart consacrés aux "méconnus" de la traction agricole...
A+

MERCI à toi de prendre la peine de les visionner !!!
on ne peut parler des tracteur FOTON sans se rappeler qu'avant d'en arriver là il y a eu tout un tas d'évolutions
et les débuts ne sont pas les moins intéressants...
A+
JP

En 1918...





A+
JP

Bonjour



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JP

Agrandissement :




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JP

Bonsoir
J'aime bien ressortir ce sujet de temps en temps!




a+
JP

Bonsoir




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JP

Bonsoir
Publicité d'époque :

suite !

Bonjour
Un BEEMAN de 1920










A+
JP

Bonsoir
une photo du 29 Mars 1920 aux USA

Bonsoir,

Je suis impressionné par la multitude des outils proposés!
JJR24

Bonjour,

Une belle documentation ici;

http://www.theamericanfarmandgarden.org/flipbook/2013.02.07/#/0

Bernard.

Très belle doc !
MERCI Bernard !

a+
JP

Depuis l'époque des premiers colons aux USA et probablement jusqu'au 19e siècle, la plupart des gens cultivaient leurs propres fruits et légumes; même la plupart de ceux qui vivaient dans les villes avaient un jardin dans leur cour arrière.

Quelqu'un a dit un jour que si vous labouriez avec une houe, c’était du «jardinage», alors que avec une charrue, c’était «de l’agriculture»!

Finalement, certains agriculteurs, en particulier ceux qui habitaient près des villes, ont commencé à se spécialiser dans la production de légumes à vendre, les transportant souvent dans la ville et les vendant eux-mêmes.
Ce type d'agriculture est devenu connu sous le nom de «maraîchage» ou «agriculture maraîchère».

Les plus grandes exploitations maraichères étaient intéressées par les tracteurs lors de l’introduction de ces machines au début des années 1900, mais les petits exploitants ont estimé qu’ils ne pouvaient justifier leurs dépenses, même s’ils avaient peut-être envie de mécaniser.

Bien entendu, cela représentait une demande potentielle et quelqu'un a essayé de la combler.

Premiers tracteurs
L'un des premiers «tracteurs de jardin» a été inventé par Cornelius A. Peters et breveté en 1915.
Le brevet a été attribué par Peters, la moitié à Edwin R. Beeman et l'autre à PJ Lyons et c'est devenu au final le tracteur de jardin Beeman.

Avant de créer la Beeman Garden Tractor Company à Minneapolis, Beeman avait été employé en tant que vice-président et directeur général de la Monitor Drill Company, qui avait été achetée par Moline Plow Company en 1909, et possédait à ce titre plusieurs brevets.

Les annonces publicitaires de Beeman ont informé les utilisateurs potentiels que «Les gros tracteurs sont conçus pour les grandes exploitations. Les tracteurs Beeman répondent aux demandes plus modestes, mais tout aussi importantes, des travailleurs de petite superficie. Pour ce groupe de producteurs, le Beeman peut être d'une grande aide et d'un grand réconfort. "

Commercialisation
L'un des slogans de la société était "Il n'y a pas de 'Irk' (?) dans le travail avec Beeman."

Le numéro d'août 1918 de Tractor World publiait un article de fond sur le Beeman Light Garden Tractor, le qualifiant de «type conçu pour la culture de petites superficies et servant de centrale électrique générale».

Le Beeman était guidé par un opérateur qui marchait derrière lui et était particulièrement adapté aux rangées étroites de jardins potagers, car il pouvait être conduit à cheval entre des rangées étroites ou entre des rangées plus larges.

Les deux roues motrices avaient un diamètre de 25 pouces et une largeur de 3 pouces, avec un moteur vertical à un cycle, à un cylindre, «de conception et de fabrication propres», avec un alésage et une course de 3 par 4 pouces.

Il était dit dans l'article de Tractor World qu'il était garanti de produire 1 barre de traction et 4 chevaux de ceinture, bien qu'une brochure de vente de Beeman mentionnait 5 chevaux.

Le moteur était refroidi à l'eau par un système de circulation à thermo-siphon, un ventilateur et un radiateur.

Deux longs tubes inclinés vers le haut à l'arrière du châssis du tracteur ont abouti à des barres transversales munies de poignées rabattables que l'opérateur peut saisir lorsqu'il utilise la machine.

Le levier d’embrayage était situé sur la poignée gauche et l’accélérateur sur la droite.

Une petite remorque à deux roues supportait non seulement l'arrière du tracteur, mais servait également de point d'attelage pour certains outils tirés, ainsi que de barre d'outils pour de nombreux outils de travail du sol, de plantation et de culture disponibles chez Beeman.

Certains instruments à conducteur porté, tels que les faucheuses, exigent que la remorque de support soit retirée et que la languette raccourcie soit fixée directement au châssis du tracteur.

Dans ce cas, l'opérateur était assis sur le siège de la machine et pouvait facilement atteindre les poignées de commande du tracteur réglables en hauteur.

Deux remorques de labour spéciales étaient disponibles. Elles permettaient à une charrue ordinaire de marcher derrière le tracteur Beeman.

L'une d'elles étant décalée, les deux roues du tracteur sont restées sur le sol non labouré, tandis que l'autre était plus étroite et nécessitait la rotation de l'une des roues du tracteur dans le sillon.

Un levier était prévu pour soulever la charrue sur la remorque et régler la profondeur de travail.

En 1916, le prix d’un tracteur Beeman était de 150 dollars, expédié par l’usine, mais il atteignait 285 dollars en 1920.

En 1920, un bon cheval de trait ou un bon mulet coûtait probablement entre un et deux cents dollars et avait besoin de peut-être cent de plus par an pour le conserver. La publicité de Beeman accordait une grande importance à l'économie de leurs tracteurs.

Une brochure de vente indiquait: "Les chevaux sont un grand soin et exigent tout ce que vous pouvez élever pour les nourrir", soulignant que le Beeman "ne coûte que sur le lieu de travail", affirmant qu'un gallon d'essence "servirait cinq heures travail sur le terrain et sept heures de travail sur la ceinture.

La crise agricole de 1920-1921 a sérieusement blessé Beeman qui a déclaré faillite en 1924. Après la réorganisation, la société, désormais appelée The New Beeman Tractor Company, a continué ses activités jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, mettant fin à ses activités en 1942.

Au cours de ces deux dernières décennies, aucun nouveau produit n'a été développé et Beeman aurait apparemment vendu suffisamment de tracteurs traditionnels et de pièces de rechange pour rester à flot.

Bonsoir,

GORDINI 07 a écrit:
L'un des slogans de la société était "Il n'y a pas de 'Irk' (?) dans le travail avec Beeman."

"There is no irk in work with Beeman"
Il n'y a pas de contrariété dans le travail avec Beeman

MERCI à toi !
les traducteurs ne sont pas tous très efficaces! !!

a+
JP

1916